Des arbres à abattre, Thomas Bernhard : radioscopie de la petite-bourgeoisie viennoise, un summum de cynisme & une vengeance littéraire cruelle
« J’étais le point noir de ce dîner, […] je suis l’observateur, l’ignoble individu qui s’est confortablement[…]
Le Mur invisible, Marlen Haushofer : un récit survivaliste post-apocalyptique qui cache un grand classique de la littérature féministe
Journal de bord d'une femme forcée à la solitude, récit survivaliste post-apocalyptique, le Mur invisible de l'autrice[…]
Lilas rouge, Reinhard Kaiser-Mühlecker : une fresque familiale autrichienne de haute volée qui explore l’héritage nazi d’une lignée
« Il y avait des événements qui ouvraient devant vous l’abîme du temps. » À la fois[…]
L’homme sans postérité, Adalbert Stifter : une filiation par procuration
« En secret, ma voix intérieure n’a cessé de me le dire : tu n’arriveras pas à faire[…]
Amok ou Le fou de Malaisie, Stefan Zweig : un coup de folie
Amok ? « C’est plus que de l’ivresse… c’est de la folie, une sorte de rage humaine… une[…]
Vingt-quatre heures de la vie d’une femme, Stefan Zweig : Happy Valentines ! (#ClassicBooks)
Vingt-quatre heures, c’est le temps qu’il aura suffi à une femme de quarante-deux ans, veuve et mère[…]
Sigmund Freud, Stefan Zweig : les explorateurs de la psyché humaine
Il aurait été étonnant que l’écrivain autrichien, grand admirateur de Sigmund Freud dont les travaux ont considérablement[…]
Le monde d’hier, Stefan Zweig : un testament éclairé légué à la postérité
Le 21 février 1942, Stefan Zweig envoie le manuscrit du Monde d’hier à son éditeur. Le lendemain[…]
Le joueur d’échecs, Stefan Zweig : une allégorie de la folie nazie
Finalisée le jour précédant le suicide de Stefan Zweig et de son épouse, alors en exil au[…]